Buckingham Palace a mis à jour sa ligne de succession pour inclure le deuxième enfant du prince Harry et de Meghan Markle lundi, près de deux mois après sa naissance.
Lilibet Diana Mountbatten-Windsor est née le 4 juin au Santa Barbara Cottage Hospital en Californie. Derrière son frère aîné, Archie Harrison Mountbatten-Windsor, Lilibet est la huitième dans l’ordre de succession au trône.
Selon le palais de Buckingham, sa naissance modifie la ligne de succession, faisant passer le prince Andrew, le duc d’York, au neuvième rang.
Lilibet Diana, a été officiellement ajoutée à la lignée royale de succession, sept semaines après sa naissance au Santa Barbara Cottage Hospital, en Californie.
Sa mère, Meghan, ne figure pas sur la liste car elle n’est pas de sang royal, pas plus que Kate Middleton ou d’autres conjoints royaux tels que Mike Tindall et Sarah “Fergie” Ferguson, duchesse d’York.
La base juridique de la ligne de succession remonte au XVIIe siècle et au règne de Guillaume III (également connu sous le nom de Guillaume d’Orange). Elle a été modifiée récemment en 2013 pour mettre fin au système de primogéniture masculine, qui plaçait automatiquement les héritiers masculins au-dessus de leurs sœurs dans la ligne de succession.
Dans le même temps, les amendements ont également supprimé une règle historique selon laquelle un royal ne pouvait pas conserver sa position sur la liste s’il épousait une catholique romaine. Les modifications sont entrées en vigueur en mars 2015.
Désormais, le prince George, la princesse Charlotte et le prince Louis occupent les places trois à cinq sur la liste, derrière leur père et leur grand-père, le prince Charles, qui est le premier en ligne et l’héritier présomptif du trône britannique.
Le prince Charles, âgé de 72 ans, détient également le record de longévité en tant qu’héritier présomptif dans l’histoire britannique, puisqu’il occupe ce poste depuis que la princesse Elizabeth a accédé au trône le 6 février 1952. À époque, le prince de Galles n’avait que trois ans.
