Ce qui devait être une journée de détente en ce jour férié du 1er février qui marquait le 188e anniversaire de l’abolition de l’esclavage s’est transformée en drame pour Jean Arvin Jolicoeur, âgé de 20 ans et habitant Roche-Bois. Ce dernier avec ses camarades s’était rendu à Cascade Kaya à Beaux-Songes pour se rafraîchir. Aux alentours de 16 heures, Arvin Jolicoeur qui nageait a disparu de la surface de l’eau. Son corps a été repêché peu après 20 heures dans la soirée du mercredi 1er février. Une autopsie pratiquée ce jeudi matin du 2 février à la morgue de l’hôpital Victoria à Candos a attribué son décès à une asphyxie due à la noyade.
C’est vers 16 heures ce mercredi 1er février que l’alerte de la disparition d’Arvin Jolicoeur à Cascade Kaya à Beaux-Songes a été signalée au poste de police de Bambous. Immédiatement une équipe de policiers, menée par le sergent Mahess s’est rendue à cet endroit à Cremation lane, Beaux-Songes, non loin de Casela Nature Park de Cascavelle. Une jeune femme de 24 ans travaillant à son compte et un ébéniste de 20 ans, tous deux habitants la localité devaient dire à ces policiers qu’ils étaient en compagnie d’un ami Arvin Jolicoeur, qui habitait occasionnelle à Beaux-Songes chez la jeune femme lorsqu’Arvin Jolicoeur qui nageait a disparu de la surface de l’eau.
Les hommes de la Swift Water Rescue Unit du Maurice Fire and Rescue Service, des plongeurs du commando MARCOS de la National Coast Guard et des hommes du Groupe d’Intervention de la Police Mauricienne ont été appelés pour des recherches. C’est peu après 20 heures que le corps sans vie d’Arvin Jolicoeur a été repêché. Il a été par la suite transporté à la morgue de l’hôpital de Candos pour y être autopsié. Celle-ci pratiquée par le Dr Sudesh Kumar Gungadin, chef du département médicolégal de la police ce matin du jeudi 2 février a attribué le décès à une asphyxie due à la noyade.
Une enquête a été initiée au niveau du poste de police de Bambous pour faire la lumière sur les circonstances exactes de ce drame.
