Bruneau Laurette se désolidarise de toutes les manifestations qui se feront autour de la commémoration de Soopramanien Kistnen. Il fera son hommage en solo, ainsi que le soutien qu’il apportera a la famille Kistnen. Pourquoi ? La présence de Nando Bodha sur les fronts !
Linion Sitwayin ne veut ni être associé et ni assimilé au leader du Rassemblement Mauricien. Ni Bruneau Laurette et ni aucun membre de ne se montreront ni 14, ni le 15 et ni le 16 octobre 2021 pour dénoncer « des cas d’injustice » aux côtés des Avengers en hommage à Soopramanien Kistnen ancien agent du MSM, disparu le 16 octobre 2020. « Notre désaccord avec Nando Bodha est simple. Il était au sein du MSM à cette période et il n’avait ni publiquement manifesté et ni démissionné, même pas sur des bases humanitaires. Nous considérons qu’il n’avait aucune considération pour Soopramanien Kistnen et ni aux combats des Avengers pour la justice. Il s’y est intéressé que tout récemment, pour quels motifs, nous ne pouvons le déterminer » explique Bruneau Laurette. Il n’aurait aucun désaccord avec les Avengers ou encore les autres partis politiques qui se sont rejoints à cette cause entre temps.
Bruneau Laurette nous avoue que sa prise de position est plus personnelle que politique, « J’ai aidé Soopramanien Kistnen dans ce combat depuis qu’il l’a débuté et je lui ai fourni plusieurs documents pour soutenir ses points avancés. Malheureusement Soopramanien Kistnen a perdu la vie dans son combat. Linion Sitwayin est solidaire envers lui et sa famille. Notre soutien est envers sa famille uniquement et nous ne voulons pas nous prêter à aucun jeu politique. Cette hypocrisie politique et la présence de certains ternissent la mémoire mem de Soopramanien Kistnen. La politisation de cette commémoration va à l’encontre de nos principes » atteste Bruneau Laurette.
Linion Sitwayin rendra une visite à Mme Kistnen dans la journée de ce mercredi 13 Octobre à son domicile à Montagne Ory à Moka. Ce nouveau parti politique promet son soutien indéfectible à la famille Kistnen dans cette lutte, mais sans politiser cette « démarche humaine pour la justice ».
