Le leader parlementaire du Parti travailliste a fait face à la presse ce mercredi. Arvin Boolell a commenté le communiqué de presse du Commissaire de police, dans lequel Anil Kumar Dip a critiqué la décision du Directeur des poursuites publiques de ne pas faire appel de la libération sous caution de Bruneau Laurette. Pour Arvin Boolell, les commentaires du Commissaire de police équivalent à un “acte de persécution”. Pour lui, il y a un élément de menace et de provocation dans les propos d’Anil Kumar Dip.
Pour Arvin Boolell, en faisant ces commentaires, le commissaire de police ne fait que se conformer au souhait du bureau du Premier ministre. Pour lui, il s’agit d’une manœuvre calculée pour persécuter le DPP. Tout a commencé, selon lui, avec le projet de création d’une Commission des poursuites publiques, qui aurait permis au DPP de fonctionner sous l’égide de cette institution.