Sept jours seulement après le gel de sa suspension de l’Assemblée nationale, le Dr Arvin Boolell a entamé une action pour contester cette décision devant la Cour suprême. Il a adressé une plainte avec assignation au Président de l’Assemblée nationale, au Premier ministre et au greffier de l’Assemblée nationale. L’État, par l’intermédiaire du procureur général, est désigné comme “tierce partie” dans l’affaire. Dans l’avis, qui constitue la première étape de l’action, Arvin Boolell demande, entre autres, à la Cour suprême d’ordonner que sa suspension viole plusieurs articles de la Constitution et qu’elle soit déclarée nulle et non avenue. L’affaire sera appelée le 18 mai.