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Saturday, April 20, 2024

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Regroupement Des Partis Extra-Parlementaires : La Démission d’Irfan Rahman Réclamée

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Le regroupement des partis extra-parlementaires réclame la démission d’Irfan Rahman  comme Commissaire Electoral. Le ‘recount’ du 1er février dans la circonscription numéro 19, Stanley/Rose-Hill., qui relève d’une magie selon eux, reste inacceptable.

Les trois anomalies de la discorde

Ce regroupement est constitué majoritairement de Bruneau Laurette de Linion Sitwayin Morisien, Dev Sunnasy et José Moirt de 100 % Citoyen, Jean Claude Barbier et Neena Ramdenee du Mouvement Patriotique et Mirella Chauvin de GREA, qui remplaçait Rama Valayden qui est en convalescence. Les trois anomalies relevées lors du recomptage partiel des bulletins au no. 19 soulèvent leurs questions et sarcasme dans leurs ressentis, face à la presse, ce vendredi après-midi, 4 février, à Rose-Hill.

Ces trois anomalies sont comme suit : Primo, 73 bulletins manquants, soit le compte de 28 169 bulletins en novembre 2019 mais 28 096 bulletins en 2022. L’écart est de de 80 voix contre 92 en 2019. Deuxio, 1 bulletin de la circonscription no.1(GRNO/Port-Louis-Ouest) a été retrouvé dans la boite scellé des bulletins du no.19. Et tertio, deux autres bulletins ne portant pas le sceau de la commission électorale.

Pour Bruneau Laurette, « Avons-nous toujours une Commission Electorale digne de ce nom ? Est-ce que nous pouvons toujours faire confiance en nos institutions ? Sont-elles toujours crédibles ? » Il remet en question les rôles du Commissaire de Police et le Commissaire Electoral.

Jean Claude Barbier estime que la Commission Electorale a perdu de sa crédibilité. « La Commission doit prendre sa part de responsabilité et une concertation générale de tous les concernés pour un meilleur déroulement des prochaines élections à venir ».

Pour Mireilla Chauvin, « la confusion est encore plus grande après ce recounting ». Selon Neena Ramdenee, « la loi sur le processus électoral est trop vague et trop à la discrétion du Commissaire Electoral. ».

Jose Moirt a été catégorique. « Il n’y a pas une institution assez crédible pour organiser une élection dans le pays. Irfan Rahman, en demandant une enquête, a fait de lui-même le suspect No.1 dans l’affaire, vu qu’il est un des trois détenteurs des clés suivi de l’Electoral Boundary Commissionner et du haut cadre de la SMF. Il ne peut ainsi aller objecter en Cour Suprême ni rester en poste ».

Ce regroupement n’a néanmoins pas caché qu’ils s’afficheront en tant que parti politique dans un futur proche.

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