Le dimanche 11 juin 2023, à 15h18, s’est fait entendre le premier cri d’un petit garçon de 2,6 kg à Artemis Curepipe Hospital. Le premier-né de l’hôpital privé Curepipien est venu au monde entouré du pédiatre Dr Ramdhun, de la gynécologue Dr Jhagdambi, du médecin-anesthésiste Dr Kissoon, de Sweety Pillai – Chief of Nursing de Artemis Curepipe Hospital, et son équipe médicale.
Ce petit bout de chou, en pleine santé, se prénomme Yuri. Sa naissance s’inscrit non seulement dans l’histoire de Artemis Curepipe Hospital, mais marque d’autant plus, celle de Marie Alix Savrimootoo. « Yuri était tant attendu. Je peux enfin tenir mon premier né dans mes bras », confie-t-elle, le cœur rempli d’émotions. Être mère pour la première fois, était pour Alix Savrimootoo, synonyme de bonheur, mais également d’appréhension.
« Malgré la surprise des contractions et le stress du moment, à mon arrivée en urgence à Artemis Curepipe Hospital, le personnel soignant a été très rassurant et très pro-actif dans leur approche de prise en charge. Je me suis sentie entre de bonnes mains. Les sage-femmes et les infirmières ont fait preuve d’une grande tendresse envers Yuri. Ce qui m’a permis de récupérer de l’accouchement rapidement » témoigne la jeune maman, âgée de 30 ans.
C’est sur le conseil de Dr Jhagdambi, que Marie Alix Savrimootoo s’est dirigé vers Artemis Curepipe Hospital. Yuri ne fut pas le seul à baptiser la maternité de l’hôpital privé. La gynécologue, qui dispense des consultations à Artemis Curepipe Hospital, a pour sa part réaliser le premier accouchement avec succès.
« Je suis très heureuse de constater que Artemis Curepipe Hospital a été en mesure de fournir un service de qualité pour l’accouchement de Yuri et surtout de répondre aux exigences médicales tant en termes d’infrastructure, que de personnel médical. Il est primordial de dispenser des soins de haute qualité et d’agir avec rapidité, pendant cet instant crucial qu’est l’accouchement. Le bébé et la maman se porte à merveille. C’est un premier pari réussi pour ce tout nouvel hôpital », explique Dr Jhagdambi.