Le Acting Départemental Head de la commission de l’eau M Jean Carlo Botsar a donné le coup d‘envoi avec ses mots : « C’est le plus gros challenge que notre île a eu à faire face, des stratégies visant à augmenter la production est primordial pour satisfaire la demande. »
Puis ce fut au tour de M. Claude Emmanuel Wong So, O.S. K, chairman of the Rodrigues Public Utilities Corporation (RPUC) | de brosser un tableau de la situation. Il nous faut résoudre les problèmes de l’eau. Nous ne voulons pas revive ce que nous avons vécu en novembre et décembre 2022 ». La RPUC va mettre en place une feuille de route, comment faire pour augmenter d’ici juin 2023, sur les instructions du chef commissaire et de son équipe d’exécutif, qui nous donnent tous leurs supports, il nous faut produire à Rodrigues, 12 000- 13 000 mètres d’eau par jour. »
Franceau Grancourt luis a succédé en rappelant qu’au niveau de la commission, nous avons commencé à nettoyer les rivières, organiser des bacs de rétention d’eau et restaurer nos barrages qui étaient autrefois bénéfiques pour la population. Le commissaire de l’infrastructure publique et d’environnement ajouta que son gouvernement va revoir comment introduire un règlement avec les buildings permit pour rendre obligatoire le captage d’eau pour tous ceux qui recherche un building permit. »
Puis ce fut au tour du chef commissaire M Johnson Roussety, G.O.S.K., Chief Commissionner and Commissionner for water Ressources, de procéder à l’ouverture des assises de l’eau.
« La tâche qui nous attend est ardue. Cependant, nous avons la volonté et la détermination de nous attaquer au problème de l’eau à Rodrigues et nous visons à mettre fin de manière significative au problème de l’eau à Rodrigues. Il est donc du devoir du gouvernement d’agir pour fournir de l’eau et des installations sanitaires adéquates à sa population conformément aux Sustainable development goals (SDG) plus précisément SDG-6 ; assurer l’accès à l’eau pour tous.
« Le premier rapport SIDPR de 2009 concluait que le système de production et de distribution d’eau d’alors était archaïque. Lors de mon premier mandat de commissaire en chef, nous avons tenté une réforme du secteur pour assister à regret au démantèlement de la réforme à partir de 2012. Il n’y a pas d’issue, si nous ne restructurons, réorganisons et ré institutionnalisons le secteur de l’eau en Rodrigues, le problème va s’aggraver et la souffrance de la population va augmenter » devait-il déclarer.
« Les Rodriguais doivent bien se préparer à l’arrivée des compteusr d’eau, au factures, c’est comme ça que ça marche dans tous les sociétés modernes. Nous ne produisons pas assez d’eau au niveau naturelles, des forages, des rivières, des sources pour satisfaire la demande. Il nous faut développer, moderniser, maîtriser l’outil du dessalement et nous somme avec la RPUC sur la bonne voie des formations des techniciens. ».
Le chef commissaire termina en lançant un message au professionnelles locaux et étrangères « Nous voulons un système qui fonctionne, un réseau d’eau pressuriser pour toute l’ile et qui pusse répondre au besoin de Rodrigues. Ensemble faisons que les problèmes d’eau soient chose du passer. Je déclare les assises de l’eau ouverte. »
Quatre groupes de discussions ont été formées aven modérateur pour chacun. Le premier est Ground and Surface Water avec J.H. Remy comme modérateur, le second, Legal and Institutional Framewor avec Chenlye Lamvohee comme modérateur, le troisième, Production of Desalinated Water avec Claude Wong So comme modérateur, et le quatrième Water Storage and Distribution avec Jacques Edouard comme modérateur.
