Le Groupe Rogers enregistre une bonne performance pour l’exercice se terminant au 30 juin 2022. Des résultats attribuables notamment à la relance réussie des opérations de son pôle ‘Hospitality’. Les autres pôles que sont FinTech, Logistics et Property, affichent également un bilan positif. Les revenus du Groupe ont ainsi augmenté de 43 % pour atteindre MUR 10, 713 M (2021 : MUR 7,518 M). Sa profitabilité, s’élève quant à elle à MUR 1,780 M contre MUR 614 M de pertes en 2021. Une performance menée par la résilience des équipes du Groupe.
Objectifs atteints pour le Groupe Rogers comme le démontrent ses résultats pour l’année financière se terminant au 30 juin 2022. Deux années après la pandémie, ces résultats attestent de la solidité du Groupe et confirment sa direction stratégique de diversification puisque Rogers annonce une profitabilité de MUR 1,780 M (2021 : pertes de MUR 614 M).
« La mobilisation de nos équipes derrière les sujets prioritaires et la consolidation du savoir-faire de nos talents a porté ce très bon résultat. La reprise du secteur touristique, et la résilience des opérations du Groupe, ont contribué à ce bilan positif » partage Philippe Espitalier-Noël, CEO du Groupe Rogers.
Avec une augmentation de 43 % de son revenu qui atteint désormais MUR 10,713 M contre MUR 7,518 M en 2021, ce bilan confirme la forte reprise déjà notée dans le Groupe pour le premier semestre de l’année financière 2022. Une performance qui a permis à Rogers de procéder à une distribution de dividendes de MUR 0.91 par action (2021 : MUR 0.60 par action).
« Nous continuons à déployer notre stratégie de développement en nous appuyant sur le principe des 3P – Prospérité, Personnes et Planète. Les enjeux climatiques impacteront significativement nos modèles actuels sur le court, moyen et long terme. La performance de Rogers est au rendez-vous. Nous continuons à concentrer nos efforts sur notre impact social et environnemental, essentiels au développement et à la pérennité de l’entreprise et des personnes qui y travaillent, ainsi qu’à notre nation et l’environnement dans lequel nous évoluons » a conclu Philippe Espitalier-Noël.
