Le ministre de la Santé, le Dr Kailesh Jagutpal, a manifesté son intention d’adopter l’isolement à domicile, comme prochaine phase écartant la quarantaine en centres pour les cas et contacts vaccinés suspectes. Selon le Dr Vasantrao Gujadhur, cette annonce du ministre Jugatpal est insensé et pas assez transparente pour quiconque. Il propose l’isolement à domicile pour tous.
Vrai problème: Emplacement et prix
« Nous sommes pleinement conscients que la quarantaine coute un bras au gouvernement. Ces hôtels ne seront plus ouverts à une telle utilisation avec la deuxième phase de la réouverture des frontières et le ministère du Tourisme ne réussira pas garder ce système, même s’ils tentent d’intervenir. C’est ce que devrait être la véritable annonce. Néanmoins, si le système est revu, l’isolement à domicile peut avoir des résultats plus positifs », conçoit-il.
Différenciation illogique
En outre, il explique: « Si le gouvernement est parvenu à une telle conclusion, il sera préférable d’imposer l’isolement à domicile à chaque cas, qu’il s’agit d’un contact ou d’un porteur positif du virus, vacciné ou non. Les procédures resteront les mêmes. Il n’y a aucune logique derrière une différenciation de ces deux, ils sont tous les deux également exposés, peut-être que l’un souffrira plus et un de moins, et il n’y a aucune garantie. Les individus seront responsables de leur sécurité et de la sécurité envers les membres de leur famille respective », a déclaré l’ancien directeur de la santé et ancien chef du département des maladies transmissibles du ministère de la Santé.
Proposition réfléchie
Le Dr Vasantrao Gujadhur ajoute que cela peut être un plus grand succès dans la surveillance et le traitement si cette annonce est une réalité, le protocole ne devrait pas être modifié. « il y a environ 150 enquêteurs de santé, 13 bureaux sanitaires et tant d’officiers de santé peuvent faire un travail de terrain et de porte-à-porte, des tests rapides, des tests PCR dûment faits et la vaccination. Avoir ce système de vaccination décentralisé ne peut que faire du bien au gouvernement et au ministère », propose-t-il prenant l’exemple de l’efficacité de ce système sur les anciennes épidémies de dengue et de chikungunya.